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Les Clics Enflammés – 24 Juillet 2018

Nous savions que même si le vent balayait le paysage carbonaté et apportait à nos narines la fumée de la mort, comme s’il rugissait entre les branches dénudées et carbonisées, son souffle était la fatalité dramatique de la vie et finalement la seule purification.Nous savions que la douleur et la mort sont une source d’inspiration, un souffle de vie, et que le noir n’est pas rendu par les sons et que le son n’est pas coloré par l’air quand il s’estompe.

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